 | ma façon de penser les choses ! | mes émotions | léna le 02-08-2013 20:28:00 |
| L'humain et comme une colonie de fourmie tous minuscule et à chaque seconde attention a ne pas tomber nez a nez avec ce que l'on nome les pretadeurs ! je sait pas pk je pense ca comme ca , mais je me dis que quand on et enfant on et si petit et sans defense , que certaine personne en abuse un peu beaucoup trop tiens je dis ce mot abuse pk , vous allez dire que je deraille que je pense bizare mais en ce moment il se passe des choses ... quoi je ne sait pas suis-je dinge ? |
| | ma façon de penser les choses ! | mes émotions | alice le 02-08-2013 21:55:00 |
l'être humain n'a rien de commun avec la fourmi ...
Je ne suis pas spécialiste de cette bestiole mais je sais que chaque individu d'une fourmilière est programmé pour telle ou telle tache et pour rien d'autre .
Elle ne peut prendre des initiatives . Elle n'a pas le choix
l'humain a son propre arbitre .
Il peut choisir ( parfois difficilement certe ) telle ou telle action il va accomplir .
L'humain agit aussi pour son propre chef alors que dans le monde des fourmis seule compte l'intégrité de la fourmilière et la survie de la reine
alice |
| | la fourmis se fais ecraser , | mes émotions | léna le 02-08-2013 23:15:00 |
| oui mais la fourmis des qu'on l'ècrase elle meurt ... quand on detruis quelqu'un sans defense c comme si on le tuer ( mèthaphore) |
| | la fourmis se fais ecraser , | mes émotions | Helene le 03-08-2013 10:12:00 |
Il parait que les fourmis, ils ressentent tout ce que leurs confrères fourmis ressentent. Si l'une d'elle a soif, les autres autour ressentent du coup un besoin impérieux de désalterer cette fourmi, autrement elles se ne sentent pas bien. Ainsi toute la colonie de fourmi veille au bien être de chaque fourmi, sinon elle ne se sent pas bien.
L'humain, non, une personne peut gémir mille morts dans son coin (ou être malade, ou être mort de faim, de froid, de peur etc...), et les autres peuvent toujours faire la fête, danser, rire autour, sans prendre du tout conscience du besoin d'être aimé, consolé. Rien de tout cela...
Bizarrement en parlant de ça, j'ai comme une sorte de tilt déclic : je comprends subitement les images de bouddhisme-hindousime, où il y a un ou des personnes qui dansent, joyeux, au dessus des os des humains morts. Quelque chose de glauque, violent, injuste. Mais c'est cela l'humanité, un constat, une réalité, quoi... |
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